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"L’arboriculteur et artiste Jean Philippe de Virville sort son premier CD" Ouest-France (07/12/2023)

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Source : https://www.ouest-france.fr/bretagne/inguiniel-56240/inguiniel-larboriculteur-et-artiste-jean-philippe-de-virville-sort-son-premier-cd-21656d8e-8c92-11ee-84e7-8236901557e2

Jean Philippe de Virville, arboriculteur à Inguiniel (Morbihan) vient de concrétiser une autre passion : la musique. Il vient de sortir son premier CD de quatre titres intitulé l’Echo de mon cœur.

Jean Philippe de Virville a commencé son histoire d’amour avec la musique à Paris alors qu’il était encore adolescent. « Avec mon frère aîné, nous avions créé un ensemble musical, moi à la batterie, lui à la guitare et au chant. Cette passion est mise entre parenthèses lorsqu’il s’engage à 20 ans chez les fusiliers marins. Après quelques années, il change de trajectoire et il choisit la filière de l’arboriculture. Père de quatre enfants, il exploite avec son épouse Marie, le verger bio du Plessis à Inguiniel (Morbihan). Ce choix stratégique laisse peu de temps à sa première passion. Cependant, il continue de se perfectionner à la guitare et à la basse.

« L’Echo de mon cœur », un titre évocateur

Mais, en 2022, tel un fantôme, la musique omniprésente ressurgit. C’est le déclic. Jean Philippe avoue qu’à l’issue d’un souci cardiaque, il se donne comme objectif d’enregistrer ses chansons écrites entre 1982 et 1984. C’est un nouveau challenge qui s’ouvre à lui. Il veut réaliser son rêve, créer un CD. Cependant, Il doit réadapter les textes écrits dans sa jeunesse, rajouter des plans musicaux, trouver une solution pour enregistrer. « Ma musique s’inscrit plutôt dans la mouvance d’Eddie Cochran, les Beatles et la nouvelle scène rennaise des années 1980 : Marquis de Sade, Etienne Daho, Marc Seberg. »

Un CD pour la bonne cause

« Les bénéfices générés par la vente de ce CD serviront à deux associations », indique l’artiste. L’une des chansons à trait à un sujet d’actualité qui me tient à cœur les enfants d’Ukraine et l’autre, le Bleuet de France.

Aujourd’hui, le rêve de Jean Philippe de Virville s’est concrétisé. « Le projet musical sorti en autoproduction est proposé au prix de 5 € l’unité. La pochette du CD que j’ai dessinée représente au recto un cœur rouge et au verso une pomme. Un clip vidéo est actuellement en ligne et les volontaires qui participeront à la diffusion de ce CD seront les bienvenus. »

"Ils ont créé une pomme couleur de sang dans leur verger du Morbihan" Ouest-France (29/09/2022)

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Source : https://pontivy.maville.com/actu/actudet_-ils-ont-cree-une-pomme-couleur-de-sang-dans-leur-verger-du-morbihan-_-5435736_actu.Htm

La saison des pommes est ouverte et celle de la cueillette aussi. Au verger du Plessis, à Inguiniel (Morbihan), il est possible de venir récolter ses pommes en fonction de ses goûts. Et aussi de tester la nouvelle variété à la chair rose fuchsia.

L’heure de la cueillette a sonné au verger du Plessis, à Inguiniel (Morbihan). Cette activité est encore possible durant quelques jours pour les variétés précoces, telles que les Elstar, Gala et Jonagold. Des brouettes et des cageots sont à disposition pour celles et ceux qui le souhaitent récolter leurs fruits. La libre cueillette va s’étaler jusqu’à la mi-octobre 2022.

 

Un taux de sucre exceptionnel

Selon les producteurs Jean-Philippe et Marie De Virville, les fruits s’annoncent de très bonne qualité. L’épisode de canicule a accentué le goût des fruits et les arômes se sont développés, affirment-ils. La coloration très prononcée des fruits est là aussi. La sécheresse avérée en juillet et août 2022 aurait pu avoir des conséquences mais grâce à la culture bio qui favorise l’enracinement en profondeur, les arbres adultes ont su s’adapter à la grosse chaleur et trouver de l’eau dans leur périmètre. Par ailleurs, les fruits ont mûri avec pratiquement deux semaines d’avance.

 

Une nouvelle variété : une pomme sanguine

Pendant près de six années de recherche, le programme d’expérimentation du verger a été entrepris avec la plantation d’une dizaine de nouvelles variétés. Les propriétaires ont commencé à développer sur leur sol, en quantité limitée, une nouvelle variété de pommes, à la chair fuschia naturelle.

Sa culture en France est encore très rare. Cette pomme très colorée provient d’Asie. Elle est née de techniques d’hybridation avec des pommes plus sucrées. En plus de sa palette gustative, c’est une variété résistante aux maladies, notamment à la tavelure, pathologie fréquente du pommier, précisent les pomiculteurs. Ce fruit insolite à la chair croquante, juteuse, a une saveur qui part du sucré à l’acidulé.

 

Un concours photos sur le thème de la récolte

À l’occasion de la fête de la bio du pays de Lorient qui a lieu jusqu’au dimanche 2 octobre 2022, le verger organise un concours photos sur le thème de la récolte.

"C’est la saison des pommes au verger du Plessis" Ouest-France (09/10/2021)

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Chaque saison est particulière. Après une année de travail obstiné et de lutte contre les conditions climatiques, les fruits colorés s’amassent à nouveau dans les cageots et les paniers. Devant les allées, des panneaux guident les visiteurs et des brouettes sont mises à leur disposition, en ce mois d’octobre 2021.

 

« Le goût du terroir »

« Les conditions météo de septembre ont été favorables à des fruits colorés et parfumés », se réjouissent Jean Philippe et Marie de Virville, propriétaires des vergers du Plessis, à Inguiniel (Morbihan), où les pommiers sont plantés en espaliers sur des coteaux, « afin de conserver le goût du terroir et améliorer la qualité des fruits. Le verger est idéalement situé dans un environnement naturel préservé de toute pollution en lisière des bois dans la campagne Inguiniéloise. »

Depuis cinq ans, un programme de rénovation du verger a été entrepris avec la plantation d’une dizaine de nouvelles variétés. « Cette première année d’entrée progressive en production nous permet d’évaluer les potentialités agronomiques et gustatives de nouvelles variétés », expliquent Jean Philippe et Marie de Virville.

 

Une nouvelle variété

Parmi les nouveautés qui émergent cette saison, il y a Plessistar. Joliment baptisée en l’honneur du nom du verger et en référence à l’indétrônable Elstar, toujours plébiscitée, cette pomme est naturellement adaptée à l’agriculture biologique. Elle se distingue par une peau rosée et une chair croquante avec une note d’agrumes. Autre atout : elle est résistante aux maladies.

"Les vergers du Plessis s’ouvrent aux cueilleurs" Ouest-France (04/09/2020)

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Le temps des pommes est revenu au verger du Plessis, à Inguiniel (Morbihan). La récolte, en avance d’une dizaine de jours par rapport aux années précédentes, s’étalera jusqu’en octobre 2020. Cette année, une nouvelle machine permet de faciliter le travail des cueilleurs.

 

« Cette année, nous avons bénéficié de conditions météorologiques exceptionnelles. Les pommiers sont chargés de fruits bien mûrs et l’on s’attend à une récolte généreuse », annoncent Marie et Jean Philippe de Virville, à la tête du verger du Plessis, à Inguiniel (Morbihan), depuis trente ans. Sur ce site, le couple produit plus d’une vingtaine de variétés et toutes bénéficient de la certification agriculture biologique.

 

Consommer local

Situés à quelques minutes du bourg d’Inguiniel, au lieu-dit Le Plessis, les vergers sont dès maintenant ouverts au public en self-cueillette. Ici, l’on vient seul ou en famille. Les cageots ou cartons sont remplis, dans la détente, selon la quantité et la variété désirée. Les pommiers, tous taillés à hauteur d’homme sont accessibles à la cueillette des fruits. « Ce concept, expliquent les exploitants, permet au client de choisir sur l’arbre un fruit sain, non manipulé. Pour les clients pressés, un stock de fruits est à leur disposition au magasin. »

 

Une nouvelle machine cette année

Cette année, les visiteurs auront peut-être la surprise de découvrir dans les longues allées des vergers, une machine d’aide à la récolte des pommes. Cette nouvelle technologie évite de monter sur une échelle pour accéder aux arbres les plus hauts. Les cueilleurs, installés dans une nacelle articulée, déposent les pommes sur des tapis roulants et la machine se charge de remplir les caisses. La vente à cueillir représente une infime partie de la production et cette plate-forme télécommandée facilite grandement la récolte des pommes.

 

Dans le verger du Plessis, à Inguiniel, ils luttent contre le gel avec des bougies

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Source : https://www.ouest-france.fr/bretagne/inguiniel-56240/en-images-ils-luttent-avec-acharnement-contre-le-gel-aux-vergers-du-plessis-f058a7f2-af3e-11eb-9a99-795f7749029c

Depuis plusieurs nuits, Marie et Philippe de Virville, les responsables du domaine bio du Plessis à Inguiniel (Morbihan), mènent une lutte sans relâche contre le gel qui met à mal la future récolte de pommes. Heureusement, les températures devraient remonter dans les prochains jours.

Les vergers vallonnés du Plessis à Inguiniel (Morbihan) sont en fleurs actuellement et c’est une féerie. Mais, pour Marie et Philippe De Virville, exploitants, derrière cette belle image, il y a de l’angoisse. Les épisodes de températures négatives la nuit se succèdent et menacent d’anéantir la production de fruits. Depuis l’acquisition du domaine, ils ont pourtant connu plusieurs assauts de gel : en 1991, 1997, 2012, 2017, mais pas à cette fréquence.

Cette année, la végétation a démarré plus tôt. Ils constatent que l’épisode prolongé de gel nocturne printanier, depuis le 6 avril jusqu’à ce début mai, compromet la récolte à venir car, plus la végétation avance, plus les pommes sont sensibles aux températures négatives. Le thermomètre est descendu plusieurs fois au-dessous de zéro. Plus de dix nuits.

 

Bougies et aspersion comme moyens de lutte

Pour atténuer les méfaits de ces gelées dévastatrices sur les variétés précoces et préserver leurs arbres fruitiers, le couple utilise deux techniques. Elles ont pour effet de faire monter la température de deux ou trois degrés, mais demandent une surveillance sans relâche. En fonction de la météo, les équipes sur le qui-vive s’organisent au milieu de la nuit.

Dès l’alerte donnée par la sonde placée dans le vallon (zone plus froide) et sur portable, des centaines de bougies à la paraffine, contenues dans des seaux, sont alors allumées dans les allées, tous les deux mètres environ. Sur les parcelles particulièrement exposées, c’est l’aspersion d’eau sur les hampes florales qui est mise en route. La glace formée autour des boutons les protégera d’un choc thermique. Les buses virevolteront jusqu’au réchauffement de l’air par les premiers rayons du soleil.

 

« Notre grande inquiétude est de voir ce risque s’établir tous les ans »

« La nouveauté cette saison, c’est la répétition des nuits de gel qui nécessite une astreinte constante pour la surveillance et la mise en place de dispositifs onéreux, dont l’efficacité demeure malgré tout relative », regrette le couple.

« Au-delà des nuits courtes, il faut rester cependant opérationnels le jour pour assurer la continuité des activités du quotidien (livraisons, calibrage). Notre grande inquiétude est de voir ce risque s’établir tous les ans, combiné à des périodes de canicule l’été. Il faudra attendre la mi-juin pour établir un bilan précis des dégâts », s’inquiètent Marie et Philippe de Virville.

La douceur des températures annoncée ces prochains jours leur procurera un peu de répit.

 

Au Verger Bio du Plessis, La Cueillette des pommes est ouverte, article du Ouest France, 26 septembre 2016

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Source: http://www.ouest-france.fr/bretagne/inguiniel-56240/aux-vergers-bio-du-plessis-la-cueillete-des-pommes-est-ouverte-4520962

Pour Marie et Jean-Philippe de Virville, l'heure de la récolte des pommes est venue aux Vergers du Plessis, situés à flanc de coteaux, à quelques kilomètres d'Inguiniel. Depuis 2008, ces exploitants ont opté pour une agriculture bio certifiée Écocert et ils invitent les consommateurs à cueillir eux-mêmes les fruits arrivés à maturité.

21 variétés de pommes

Les vergers, plantés en 1965 par le général Guy de Beaufort, s'étendent sur près de 7 ha et regroupent 21 variétés aux saveurs fruitées ou acidulées. Sur place, des conseils sont donnés sur leur spécificité. Certaines variétés sont destinées à être croquées, d'autres à être cuisinées ou à finir en tarte, crumble ou compote.

La self-cueillette

La période de cueillette s'effectue de septembre à mi-octobre. Selon ses besoins, chacun apporte seau, carton, panier. Il n'y a pas de minimum. Depuis le début de l'opération, les inconditionnels du bio sont nombreux à arpenter les allées et à repartir avec leurs provisions vitaminées. Pour la plupart, c'est une distraction de cueillir les pommes en famille et il est plaisant de se servir directement dans l'arbre, pour un prix intéressant.

Marie et Jean-Philippe de Virville fournissent les Biocoop de Lorient, les restaurants scolaires de Lanester, Pontivy, Ploemeur, Lorient, et disposent de quelques points de vente dans la région.

 

Le Verger du Plessis, 50 ans après, le Général serait fier de son Verger, article du Ouest France du 2 octobre 2015

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Source: http://www.ouest-france.fr/bretagne/50-ans-apres-le-general-serait-fier-de-son-verger-3733392

Chef d'état-major de de Gaulle, puis maraîcher... Au début des années soixante, le général Guy de Beaufort plante des pommiers à Inguiniel. Aujourd'hui, le site du Plessis tourne en bio.

L'histoire

Le Plessis, un site préservé de 5 hectares, à l'écart des grands axes, aligne ses coteaux entre les bois et la campagne d'Inguiniel, au pays de Plouay. On ne vient pas ici par hasard. Arrivé devant ce site accidenté, tout au bout de la route, l'automobiliste doit garer sa voiture... ou faire demi-tour. C'est ici que l'aventure des pommiers du général de Beaufort a commencé, il y a un demi-siècle.

« Si le général revenait... »

Marie et Jean-Philippe de Virville, agriculteurs bio, ont voulu fêter cet anniversaire. « Nous avons acquis le verger du Plessis il y a 25 ans auprès des héritiers, explique Jean-Philippe. Si le général revenait, il retrouverait des pieds mères de ses pommiers. Greffés à différentes souches, ils ont donné d'autres variétés. »

Elstar, Jubilé, Belle de Boskoop, Canada... Le couple d'exploitants propose 21 variétés en bio certifié Écocert sur cette petite surface, une rareté sur le sol breton. Ce résultat, ils le doivent à leur opiniâtreté. Et au départ, à l'esprit d'entreprise de leur prédécesseur.

Trois jours en garde à vue

Guy de Beaufort, Inguiniélois de souche, commence à s'intéresser aux vergers en Afrique du Nord, où il part en 1942 pour entrer dans l'armée de la Résistance.

« Nommé général au début des années 1950, rappelle Bernard Bretagne, un de ses neveux, il participe à la campagne d'Indochine. En 1958, il favorise l'accession du général de Gaulle au pouvoir. Pendant deux ans, il est son chef d'État-major personnel. Et puis, en 1961, quand le putsch d'Algérie survient, De Gaulle est persuadé que mon oncle est dans le coup. Il le place trois jours en garde à vue, avant de le libérer et de lui donner une promotion. Mais pour mon oncle, la confiance est rompue ! »

Retour à la terre

1961 marque donc le retour à la terre du général de Beaufort. Et les premières plantations au Plessis. Au sommet des coteaux, le général fait construire sa maison, à quelques centaines de mètres du château familial de Kerascouet.

Son neveu salue son courage : « Il a pris un virage audacieux, en étant le premier à planter des pommes à couteau en Bretagne, où il n'y avait que des pommes à cidre ».

Au milieu des années soixante, les plantations couvrent 27 hectares, entre Le Plessis et Kerganaouen, où le général a mis en culture un autre terrain, plus vaste. L'ensemble produit 500 tonnes de pommes par an, Golden et Reine de reinette s'y taillent la part du lion, dans un marché tourné vers l'export...

La grande époque du général, décédé en 1981, semble loin aujourd'hui. Cette année, le verger de Kerganaouen, cultivé en agriculture traditionnelle par ses repreneurs, a dû fermer ses portes.

Mais au Plessis, Marie et Jean-Philippe de Virville ne regrettent pas leur choix d'être passés en bio, en 2008 : « Nous fournisssons les restaurations scolaires de Lorient, Lanester, Pontivy, Ploemeur, quelques détaillants et des restaurateurs. »

Cette saison, la récolte s'annonce particulièrement généreuse. Marie et Jean-Philippe en font profiter les visiteurs, comme chaque année. En maintenant la tradition de cueillette personnelle qu'avait instaurée le général de Beaufort, ils perpétuent son esprit de résistance !

La cueillette en libre-service au Verger du Plessis, article du Ouest France, 7 septembre 2015

La cueillette des pommes commence au verger du plessis

 

Source: http://www.ouest-france.fr/bretagne/inguiniel-56240/la-cueillette-des-pommes-commence-au-verger-du-plessis-3668681

La cueillette-vente des pommes a commencé au Verger du Plessis, situé en pleine campagne, à 7 km au sud d'Inguiniel. Elle durera jusqu'à la mi-octobre. À l'origine des plantations en 1965, le général De Beaufort eut l'idée innovante de planter 7 000 pieds.

Cueillette en libre-service

Marie et Philippe de Virville exploitent ce verger depuis 1989. Ils ont opté depuis 2008 pour une agriculture dépourvue de tout traitement chimique avant ou après la récolte. Les pommiers, bien alignés en espaliers sur les coteaux, s'étendent sur près de 5 ha. Une vingtaine de variétés est ainsi proposée : Elstar, Golden, Gala, Jubilé, et bien d'autres encore. La vedette du moment reste l'Elstar. Chaque visiteur arrive avec ses cageots, ses paniers ou ses caisses qu'il remplit en libre-service en fonction de ses besoins.

Accueil de jeunes de l'IME

Parallèlement à cette activité, Marie et Philippe de Virville accueillent, depuis quelques années dans le cadre du partenariat, un groupe de jeunes de l'Institut médico-éducatif Louis-Le Moënic. Une fois par semaine, ces garçons et filles participent, sous la responsabilité d'un éducateur, à un atelier d'immersion dans le monde du travail : le tri des pommes, l'étiquetage.

Concours photos

À l'occasion du cinquantième anniversaire de la plantation du verger, un concours de photos en ligne est ouvert à tous sur le thème « Pommes d'hier et d'aujourd'hui ». Les intéressés peuvent adresser leur cliché sur le site ou la messagerie.

 

L'Atelier Indigo expose au Verger du Plessis, article du Ouest France du 10 décembre 2014

Latelier indigo expose aux vergers du plessis

Source: http://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/latelier-indigo-expose-aux-vergers-du-plessis-3040506

Sans aucune prétention, mais avec un vif plaisir, les membres de l'atelier Indigo Bretagne exposent pendant tout l'hiver aux Vergers du Plessis, dont la salle de vente de produits bio et naturels est nichée à Kerlégan, derrière la zone commerciale de Keryado. Un cadre campagnard qui sied bien à l'inspiration actuelle de cette dizaine d'artistes.

« Nous sommes tous issus des cours adultes de l'école des Beaux-arts, rappelle Henri Jeannot, et nous continuons à travailler ensemble en atelier chaque jeudi. Comme nous avons été invités à venir présenter nos tableaux ici, nous avons choisi de peindre des fruits et des légumes. » Un thème que ces artistes amateurs vont continuer à travailler pour enrichir cette collection durant cet hiver.

 

Le Verger du Plessis et la sensibilisation aux fruits de saison, article du Ouest France du 31 octobre 2013

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Source: http://www.ouest-france.fr/bretagne/lorient-56100/famillles-rurales-de-nombreuses-decouvertes-au-centre-aere-1686392?

À la faveur des vacances de la Toussaint, 35 enfants en moyenne ont fréquenté tous les jours l'Accueil de loisirs sans hébergement de Familles rurales, dirigé par Katherine Houssays, à Manehouarn.

" La semaine dernière était consacrée à une sensibilisation aux fruits de saison. Le lundi 21, les enfants sont allés cueillir des pommes au verger du Plessis à Inguiniel, spécialisé dans la pomme bio. La récolte leur a permis de faire de la compote, des tartes, chaussons, du crumble." 

Concours photo: la pomme les a inspiré, article du Télégramme, 01 décembre 2009

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Source: http://www.letelegramme.fr/local/morbihan/lorient/plouay/inguiniel/concours-la-pomme-les-a-inspires-01-12-2009-679503.php#

C'est sur le thème de la pomme que les amateurs de dessin et de photographie ont planché pour le premier concours organisé par le Verger du Plessis. La catégorie dessin et peinture était ouverte aux enfants, sur le thème «la pomme dans tous ses états». Utilisant toutes sortes de techniques allant de la peinture au collage en passant par les pastels, une trentaine d'entre eux ont été inspirés par ce thème, produisant des oeuvres natures mortes originales où la pomme était reine. Parmi les participants étaient représentés l'école Saint-Joseph de Lanvaudan et l'IME de Kerdiret de Ploemeur. Les adultes quant à eux étaient invités à s'exprimer au moyen de la photographie sur le thème «tant qu'il y aura des pommes». Une vingtaine d'oeuvres ont été récoltées, en noir et blanc ou en couleurs. Les gagnants ont été reçus dimanche après-midi au Verger du Plessis où on leur a remis leurs lots, des paniers garnis de pommes et de produits issus de la pomme. Les oeuvres primées sont exposées actuellement au verger du plessis et seront ensuite présentes au magasin situé à Lorient. Les lauréats 1. Catherine Gallic, de Cléguer. 2. Annie Trébaol, de Ploemeur. 3. Mme Godart, d'Inzinzac-Lochrist. Cette dernière participe régulièrement à des concours de photographie tandis que pour Madame Gallic il s'agissait d'une première.
 

"Verger du Plessis, un magasin à Lorient à l'écart de la ville" Le Télégramme (17/02/2017)

Kerlegan

Source : http://www.letelegramme.fr/morbihan/lorient/verger-du-plessis-a-l-ecart-de-la-ville-17-02-2017-11404640.php

Le lieu ne manque pas d'air. Aux portes de la zone commerciale, derrière Truffaut, se cache un corps de ferme, allée du village de Kerlegan. Les vergers du Plessis y ont élu domicile, voilà 25 ans, pour la vente directe de leurs pommes bio produites à Inguiniel.

 

Un lieu proprice à la vente de pommes

La longère charme les connaisseurs qui viennent s'approvisionner en pommes et se dépayser à l'abri des grandes surfaces. Un bien de famille auquel tient beaucoup Marie De Virville. L'arboricultrice est en effet issue d'une lignée célèbre dans le quartier : la famille De Vitton, anciennement propriétaire du manoir de Kerlétu. « La ferme de Kerlegan faisait partie de Kerlétu, dont le manoir appartenait à mon grand-père. J'aime ce lieu propice à la vente des pommes. La ville grignote tout petit à petit. C'est le dernier bastion du coin à compter un si vieux bâtiment ».